Rencontre avec les Lauréats du Prix Maystadt de l’ARES
Au cours de la réunion conjointe des commissions parlementaires, les lauréats du prix Maystadt décerné par l’ARES ont été mis à l’honneur. Ce prix reconnaît des travaux de fin d’études axés sur des sujets pertinents pour la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Cette année, les projets récompensés se sont concentrés sur trois domaines clés :
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L’Apprentissage du Débat : une investigation sur l’intégration de l’art du débat dans les systèmes éducatifs pour promouvoir l’esprit critique et la participation civique.
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Le Bien-Être des Enseignants : une étude sur les facteurs influant sur le bien-être des enseignants et les approches pour soutenir un environnement de travail positif.
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Les Violences Gynécologiques : une recherche abordant les violences gynécologiques et la nécessité d’une prise de conscience et d’une action dans le secteur de la santé.
Nous adressons nos félicitations aux lauréats pour leurs travaux remarquables qui contribuent de manière significative à des débats et des politiques éducatives et de santé importants. Leur engagement envers la recherche et l’innovation est essentiel pour éclairer et orienter les actions publiques vers des pratiques plus inclusives et respectueuses.
Félicitations à tous les lauréats et merci pour votre contribution à des sujets si vitaux pour notre communauté.
Céline Chomé, de l’Université catholique de Louvain, a été récompensée pour son travail sur les violences gynécologiques et obstétricales (VGO) dans son Master en sciences de la santé publique.
Son étude souligne l’importance de la formation des soignants comme moyen de prévention des VGO, mettant en lumière le besoin de sensibilisation des étudiants en gynécologie-obstétrique.
Les VGO sont décrites comme des actes médicaux non consentis ou inutiles, pouvant avoir des effets délétères physiques ou psychologiques.
Chomé appelle à une révision des politiques de santé et des formations universitaires pour prévenir ces violences, indiquant que ces actes font souvent partie du quotidien des assistantes et peuvent être normalisés par leur formation.