Le centre d’interprétation Marcel Marlier à Mouscron, inauguré en 2015, connaît des problèmes de fonctionnement depuis plusieurs mois, avec huit des dix modules de vidéos didactiques en panne. 

Selon l’échevin de la culture, Laurent Harduin, ces pannes sont dûes à des délais d’attente chez les fournisseurs, mais la cheffe de file du PS, Fatima Ahallouch, accuse la ville de négligence dans l’entretien des modules. Harduin assure que tout sera mis en œuvre pour régler le problème et que les écrans seront intégrés aux modules afin de recréer un “beau parcours scénographique” au début de 2023… on compte les jours…

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Mouscron met en avant son centre d’interprétation Marcel Marlier, que beaucoup appellent Musée martine.

Il s’agit d’un projet flambant neuf et le choix a été fait d’opter pour des outils numériques essentiellement. Bien que discutable, c’est l’option choisie. Et là, il y a clairement un manque d’anticipation.

Chacun sait que le matériel informatique est soumis à un entretien, des réparations, des mises à jour, des pannes quand ce n’est pas l’obsolescence programmée.

Il est donc indispensable de prévoir un budget pour l’entretien de toute installation informatique, afin de garantir son bon fonctionnement et de prévenir les pannes coûteuses.

Malheureusement, il semble que la commune de Mouscron n’ait pas prévu de budget dédié à l’entretien des installations du centre d’interprétation Marcel Marlier.

Cela peut être préoccupant, car un entretien régulier peut prolonger la durée de vie de ces installations et réduire les coûts à long terme.

Il serait donc judicieux de revoir cette décision et d’allouer des moyens pour assurer l’entretien adéquat de ces installations.

On peut même aller plus loin et étoffer l’offre d’animations pour ne pas être tributaire du tout au numérique. Cela fait 2 ans que le musée ne permet l’utilisation que d’une activité sur 5… Pensons durable!

Fatima Ahallouch

MARTINE ET LA CRISE DES COMPOSANTS INFORMATIQUES




Le centre d’interprétation Marcel Marlier à Mouscron, inauguré en 2015, connaît des problèmes de fonctionnement depuis plusieurs mois, avec huit des dix modules de vidéos didactiques en panne. Selon l’échevin de la culture, Laurent Harduin, ces pannes sont dûes à des délais d’attente chez les fournisseurs, mais la cheffe de file du PS, Fatima Ahallouch, accuse la ville de négligence dans l’entretien des modules. Harduin assure que tout sera mis en œuvre pour régler le problème et que les écrans seront intégrés aux modules afin de recréer un “beau parcours scénographique” en début d’année prochaine.





“ Mouscron met en avant son centre d’interprétation Marcel Marlier, que beaucoup appellent Musée martine.



Il s’agit d’un projet flambant neuf et le choix a été fait d’opter pour des outils numériques essentiellement. Bien que discutable, c’est l’option choisie. Et là, il y a clairement un manque d’anticipation.



Chacun sait que le matériel informatique est soumis à un entretien, des réparations, des mises à jour, des pannes quand ce n’est pas l’obsolescence programmée.



Il est donc indispensable de prévoir un budget pour l’entretien de toute installation informatique, afin de garantir son bon fonctionnement et de prévenir les pannes coûteuses.



Malheureusement, il semble que la commune de Mouscron n’ait pas prévu de budget dédié à l’entretien des installations du centre d’interprétation Marcel Marlier.



Cela peut être préoccupant, car un entretien régulier peut prolonger la durée de vie de ces installations et réduire les coûts à long terme.



Il serait donc judicieux de revoir cette décision et d’allouer des moyens pour assurer l’entretien adéquat de ces installations.



On peut même aller plus loin et étoffer l’offre d’animations pour ne pas être tributaire du tout au numérique. Cela fait 2 ans que le musée ne permet l’utilisation que d’une activité sur 5…


Pensons durable!”



Fatima Ahallouch





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