Nous apprenions très récemment l’installation de deux radars fixes sur une partie de la chaussée de Tournai (N50) à Ramegnies-Chin afin d’améliorer la sécurité routière aux abords de l’Institut Saint-Luc. Une très bonne nouvelle. Des mesures concrètes doivent être prises partout où c’est nécessaire, pour éviter de nouveaux drames. Quand la prévention ne suffit pas, les sanctions sont en effet nécessaires.

Deux drames récents

Le 17 janvier dernier, j’interrogeais la ministre Valérie De Bue, en charge de la Sécurité routière, sur les aménagements de sécurité aux abords des écoles, avec un focus sur la situation à Saint-Luc. 
Les mois de novembre et décembre ont tristement marqué les esprits en Wallonie picarde. En effet, au mois de novembre, un grave accident avait lieu à Dottignies (Mouscron). Une jeune fille a été grièvement blessée lors de la traversée d’un passage pour piétons pour se rendre à l’école.

En décembre, une autre jeune Mouscronnoise a été mortellement fauchée sur un passage pour piétons, en face de son école, l’Institut Saint-Luc à Ramegnies-Chin. Ces deux épisodes dramatiques, qui brisent des parcours, des vies, des familles, ont eu lieu dans un délai court, entre deux usagers faibles et des engins motorisés.

Agir concrètement

Il est temps d’agir de manière très pratique, pour éviter ces drames. J’interrogeais la ministre sur les aménagements réalisés, en court et à venir, dans la région et plus précisément à Ramegnies-Chin. Ainsi que sur un relevé des accidents survenus à cet endroit. Je suivrai ce dossier avec attention.